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vie libre section de montgeron mouvement d'entraide aux addictions 01 69 42 21 32 accueil qui sommes-nous? nos partenaires planning des réunions cannabis,ou vat-on? salon des femmes contact/livre d'or mise a jour le 21/08/2018 7h16 vous pouvez cliquer une fois sur la photo de votre choix pour l'agrandir ! assemblée générale du 20 janvier 2017 à vigneux résultats: responsable: yves-patrick weydert responsable-adjoint: marc becker secrétaire: pascal yvonnou secrétaire-adjoint: yves barnole trésorier: michel adamski trésorière-adjointe: alina kmiecik délégués à la communication: chantal combeau & pierre beria responsable du groupe femmes: alina kmiecik. david he oui................. je suis mort d'alcool................ cette saloperie a eu le dessus............... ceux ,celles qui savent ma facon de penser ne sont pas dans la polemique. ils,elles conaissent mon attachement au prochain......... les phrases choquent ; mais sont utiles... ceux ,celles qui ne font pas le choix de vivre sans alcool predront, malheureusement ce meme chemin. combien de fois encore devrais-je ecrire cette phrase ??? combien d'energie supplementaire devrons nous mettre dans la bataille pour en sauver encore????? il faut continuer le combat. ne baisser pas les bras.... ¨je suis a vos cotes en pensees" ps: veuillez m'excuser du retard de mon intervention, pas de connexion, la ou je me trouvais.. yves-patrick tél marc : 06 42 84 32 05 marc intervention vie libre journee des addictions hopital dupuytren de draveil le 28 avril 2017 que vaut la vie ? dans ce monde derisoire ou tout n’ est que paraitre et pouvoir, nous avons perdu encore un des nôtre…………. jean-pierre. pendant ce temps la section se cherche, comme orpheline ???? voila le vrai sujet…. la mort par surdose d’alcool, ou autre saloperie addictive!!!!!! pourtant nous savons faire ????? il est temps de se recentrer autour des malades, de laisser nos querelles de bazar a la porte. ou bien ????????????? reapprenez le vivre ensemble, je sais cela est a la mode mais c’est la seule solution, le seul echappatoire a l’indifference……….. tendez la main ? l’oreille a votre prochain. vie libre : l’amitie est notre force,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, ?????????? jm nous pouvons vous aider !!!! alcool, cannabis, etc.... faisons bouger les lignes !!! merci ! merci pour toutes ces annees de partage, peines, de miseres, quelque soit votre nouvelle vie n'oubliez jamais.......................... il y aura toujours une petite place dans un coin de ma memoire pour ce cadeaux de vingt annees d'amour reciproque les permanences: 3 éme lundi de chaque mois de 14 heures à 17 heures! ccas d'yerres 2 rue du stade 91330 yerres alternativement 3 éme lundi (14heures30 à 16heures) ou 3éme vendredi de chaque mois (9heures30 à 11 heures,) oasis ( épiserie sociale de montgeron) rue de la montagne crève-cœur 91230 montgeron permanence hebdomadaire le vendredi de 15heures à 17heures30 dans l'enceinte de la clinique de l'isle 2 rue boileau 91560 crosne le groupe de paroles réservé aux femmes a lieu le 3e mardi de chaque mois salle gaston vial 32 rue gaston vial 91270 vigneux sur seine la "petite guerre" chez vous quelle est donc cette maladie qui a si profondément détérioré la vie de votre malade et celle de sa famille ? depuis des mois, sinon des années, vous êtes le témoin douloureux d’un fait incompréhensible : il boit trop de vin, trop de bière ou trop d’alcool, soit tous les jours, soit par périodes et il ne supporte plus rien qu’elles que soient les qualités ou quantités de ces liquides. peu importent d’ailleurs les modalités de détail de sa consommation, le fait est qu’il continue aveuglément. sa santé en souffre, évidemment, mais aussi son humeur, plus souvent mauvaise que bonne ; son caractère devient pénible, irritable ; ses capacités intellectuelles fléchissent, son travail aussi s’en est vivement ressenti, etc. toutes ces altérations sont évidentes, crèvent les yeux de son entourage. naturellement, vous lui en avez fait la remarque, c’était le bon sens même. a votre étonnement, il est resté sourd et a continué à boire comme avant. après les appels à la raison, sont venus les reproches, peut-être même les menaces. probablement vous est-il arrivé parfois de vous mettre en colère et finalement de désespérer de trouver une issue à cette situation infernale. en même temps que votre chagrin et votre irritation croissaient, le mal ne faisait qu’empirer. après avoir eu l’illusion persistante qu’il aurait pu s’arrêter s’il l’avait voulu, vous en êtes peut-être arrivé à penser qu’il le faisait exprès. au lieu de reconnaître que la vie devenait impossible, votre malade prétendait par exemple, n’avoir rien bu, ou... presque pas : de nombreux indices vous prouvaient immédiatement le contraire. après les dénégations, vous avez connu aussi les repentirs, puis les promesses, les espoirs tout neufs chaque fois brisés, etc. la situation actuelle aujourd’hui, la situation s’est modifiée : soit après un incident plus grave que les autres, soit par crainte de perdre définitivement votre affection ou de ruiner sa situation, ou sa santé, votre malade a accepté enfin, bon gré, mal gré, de se faire soigner. depuis son entrée ici, ou vous l’avez revu ou il vous a écrit. vous avez pu constater son amélioration physique et morale. il a retrouvé sommeil et appétit, son caractère est plus gai, plus confiant ; il fait même des projets d’avenir. voilà un premier bilan positif et rassurant ; mais probablement vous posez-vous dès maintenant d’autres questions : "combien de temps cela va-t-il durer ? après sa sortie peut-il retomber dans les mêmes errements ? faudra-t-il tout recommencer dans quelques semaines ou quelques mois ?" pour répondre à ces questions, je dois vous expliquer très brièvement en quoi consiste cette maladie. la maladie d’abord, me direz-vous, pourquoi parler de maladie, et non pas plus simplement du vice, du manque de volonté, des mauvaises habitudes qui ont entraîné tous ces malheurs ? justement, tous ces termes ne sont pas applicables à votre malade et une étape décisive sera franchie par vous comme par lui, quand vous aurez admis que vice, défaut de volonté ou mauvaises habitudes n’ont rien à voir avec ce qui arrive. il s’agit de tout autre chose. il s’agit d’une maladie dont je peux résumer le symptôme majeur par une phrase : votre malade avait perdu la liberté de s’abstenir de l’alcool. il est d’un intérêt capital que vous compreniez bien ce que je veux dire par cette phrase. je vous précise, en effet, qu’il s’agit de la perte d’un mécanisme normal. pour vous, pour moi, les boissons alcoolisées peuvent-être un agrément, un plaisir même, mais nous pourrions nous en passer facilement. pour votre malade, elles étaient devenues une nécessité maladive aussi impérieuse et vitale que pour nous tous le besoin de dormir. on peut échapper au sommeil pendant un temps plus ou moins long, mais tôt ou tard il faudra dormir . il en va de même pour votre malade à l’égard de l’alcool : qu’il lutte et qu’il ne lutte pas, c’est un fait qu’il n’a pu assouvir sa soif morbide d’alcool. les 3 éléments de cette maladie 1) l’intoxication -dans ces conditions, peu à peu, l’organisme s’est intoxiqué, c’est-à-dire qu’il a accumulé des produits toxiques dont l’effet était d’autant plus nocif que l’organisme était de moins en moins résistant. grâce à diverses piqûres, cette intoxication a pu être réduite. il est possible qu’elle ne laisse que peu de traces dans l’organisme de votre malade. 2) le facteur psychologique -mais ce n’est pas tout. peut-être avez-vous pu noter, bien avant qu’il ne soit malade, divers traits particuliers de son caractère ou certaines tendances de sa personnalité. de plus, au cours de circonstances émotionnelles telles que tristesse, anxiété, dépit, colère, etc., vous avez sans doute remarqué que votre malade av ait tendance à boire plus et aussi que dans ces circonstances il "supportait" moins bien. rappelez-vous aussi l’expression "noyer son chagrin", ou encore la